Le Festival du film de solidarité de Guadalajara (FESCIGU) débute aujourd’hui. La ville de Guadalajara accueille le meilleur du cinéma et de la culture espagnols jusqu’au 6 octobre.
Comme à chaque édition, la FESCIGU réalise un travail de sensibilisation et de diffusion à travers différents médias tels que des interviews, des expositions, des courts métrages et d’autres activités.
Le thème de cette seizième édition n’a voulu laisser personne indifférent, car il nous montre les grands problèmesqui existent autour de la gestion de l’eau.
L’une des expositions que l’on peut visiter dans le hall de l’auditorium Buero Vallejo cette année est celle créée par la graphiste Raquel Lozano. Il décrit l’empreinte de l’eau que nous laissons derrière nous et nous invite à y réfléchir.
Des entretiens ont également été réalisés avec des experts tels que Francisco Turrión, qui a récemment reçu le prix de la recherche et de l’innovation dans le domaine de l’eau décerné par le gouvernement de Castilla La Mancha, et Santiago Martín, ingénieur agronome et porte-parole d’Ecologistas en Acción dans le domaine de l’eau,dans lesquels sont soulignés l’utilisation responsable de l’eau et la nécessité d’une plus grande transparence dans la gestion de cette ressource.
L’empreinte hydrique, la gestion et l’efficacité de l’utilisation de l’eau sont des questions qu’il est urgent d’aborder dans notre société. L’eau est une ressource pour laquelle la demande dépasse constamment l’offre. Il est de notre devoir de faire partie de la solution et non du problème.